« Doloris ,, Evil's Awakening »
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Ivanoé A. Jones

Ivanoé A. Jones


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MessageSujet: doesn't change anything • ended.   doesn't change anything • ended. EmptySam 29 Aoû - 12:38


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(c) honeydew

ivanoé anise jones
« L'existence est bien calme et mystérieuse mais le prix à en payer et bien plus que l'on peut se l'imaginer. »


    NOM, PRENOMS :
    « Je n‘aime pas vraiment parler de moi où bien mettre en avant une identité qui révèle une partie de mon univers. Pour autant que je sache tout le monde y passe alors je vais tacher de m‘y atteler sans trop de détails. Jones. Un patronyme que je dois a mon paternel comme les trois quart des êtres humains qui peuple le monde aujourd’hui. Nom de famille a résonnance américaine, la famille de mon père est bien britannique et raconter l’histoire de sa lignée reviendrait à entendre la biographie d’Henry IV. Enfin le plus important ne demeure pas dans la provenance d’autrefois mais dans la signification que vous donnez a votre vie. Enfin bref. Je me nomme Ivanoé. Lors de ma naissance, la discussion ne tournait guère autour d’un prénom féminin, puisque mes parents s’attendaient à accueillir en son sein un second petit garçon. Manque de mieux, ce fut ma frimousse de petite fille qui se pointa au rendez vous. L‘espérance ne fut que plus grande encore, d‘après ce qu‘on m‘a toujours conté. Je dois mon prénom a mon père qui a toujours affectionné cette appellation depuis son enfance. En ce qui concerne mon deuxième prénom, Anise, il provient d‘un conte pour enfant, dont ma mère tirait une soudaine inspiration. Si c’est un peu terre à terre ? Oui certainement mais bon je ne me plains pas bien au contraire. L‘essentiel étant dit, il n‘y a pas de raison pour en dire plus, non ? ».

    SURNOMS :
    « Les surnoms ont tous fusés un jour ou l’autre dans notre vie. Cependant je n’en ai toujours connu que deux. Le premier réside dans l’appellation de mon patronyme, classique mais simple et commun. Le second se borne à Noé. On ne m’a jamais nommée Ivanoé. Enfin sauf quand la bêtise s’éprenait a me jouer des tours. »


    ÂGE, ANNEE D'ETUDE :
    « Seize belles années, que demander de plus ?! »

    DATE ET LIEU DE NAISSANCE :
    « Une jolie petite pluie de feuilles, quelques gouttes d’eau par ici et par là, une ville monde munit d’un conservatisme de la royauté et vous retrouverez la bonne vieille Londres d’autres fois. La clinique de Londres est l’endroit qui à abrité mes premiers cris, un jour de pluie soit le douze novembre de l'année deux mille trente quatre. »


    NATIONALITE :
    « Britannique depuis plusieurs générations, je n’ai pas dérogée à la règle non plus, bien que la famille de ma mère soit d’origine française. »


    PURETE :
    « Vous ne verrez jamais un Jones prétendre qu’il y a du sang moldu dans sa famille. Enfin c’est que disait mon arrière grand père paternel. Depuis les mœurs ont changés et tant mieux pour les descendants de ma famille. Quoi qu’il en soit mon père est un sang pur de naissance, tout comme à l’image de ma mère. Résultat ? Bravo ! Sherlock Holmes j’en suis une également. »


« Unique ? Prouve le. »


    COMPOSITION DE LA BAGUETTE :
    « En franchissant le seuil de la porte du commerce d’Ollivanders, ce dernier avait alors affichait un regard doux et surpris en me voyant. Il avait affirmé avec certitude que la ressemblance avec ma mère était des plus frappantes et que son souvenir lui était joyeux en y repensant. Lorsqu’il me tendit ma future baguette, je fus étonnée d’en faire l’acquisition car j’appris a ce moment que seul l’outil magique choisissait son propriétaire. Forgée en bois de prunelier, mesurant vingt neuf centimètre, et contenant une plume de griffon, ma baguette ne quitte jamais ma poche. »

    PATRONUS :
    La Hulotte. Comme tout le monde, enfin plus particulièrement ceux qui connaissent la jeune Jones, le calme est une des qualités dont elle fait preuve le plus clair de son temps. A son effigie, la hulotte est un rapace des plus complexe mais aussi des plus calme dont la sagesse peut parfois mettre en déroute. Signe de sagesse et d'optimisme chez les amérindiens, la hulotte nous montre a quel point nos faiblesses peuvent devenir des points forts. Modèle de détachement et de changement radical, ce volatile aux plumage banc d'ordre général, dépeint un aspect quelques sauvage et attachant, qui tout comme Ivanoé peut se montrer très difficile à apprivoiser; d'où l'origine de son dit patronus.

    EPOUVANTARD :
    Le souvenir de mort de sa mère.

    MAISON SOUHAITEE :
    « La famille de mon père est toujours passée par la maison de Rowena Serdaigle. Jusqu’à la naissance de mon géniteur et de ma mère qui étudièrent tous deux sous les couleurs des lions. Mon frère ainé n’a pas vraiment inversé la donne puisqu’il suit les traces de ses pairs en rejoignant le courage des Gryffondor. Un chien ne faisait guère des chats, la logique semble avoir agit en conséquence. »


    MATIERE FAVORITE :
    « Mon penchant pour la pratique de la magie me fait plus apprécier les cours de DCFM et la métamorphose, bien sur mon attention pour ses matières est vraiment étonnante, parfois je ne m’en rend pas vraiment compte. Pour autant l’astronomie est aussi l’une des options que j’ai favorisée, en espérant qu’elle me donne quelques points en plus pour les prochains examens en cours. ».


    MATIERE DETESTEE :
    « Il n’y a pas de matières particulières pour lesquelles je sois bonne ou mauvaise. Je dirais simplement qu’on possède tous des points forts ainsi que des points faibles. Cependant si je devais opter pour une discipline, je pense mettre en évidence les cours soporifiques du professeur d’histoire de la magie. ».


    SORTILEGE PREFERE :
    rictusempra - accio

    POTION DE PREDILECTION :
    polynectar


« Ôtes ton masque et dis moi qui tu es. »


    PRENOM - PSEUDONYME : a.
    ÂGE, LOCALISATION : 18 ans
    EXPERIENCE RP : un peu plus de deux ans
    EXEMPLE DE POSTE : Obligatoire pour les Postes Vacants
    PRESENCE /7 : 4/7
    MOT DE PASSE : lumus solem


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Ivanoé A. Jones

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MessageSujet: Re: doesn't change anything • ended.   doesn't change anything • ended. EmptySam 29 Aoû - 12:39


    « Racontes moi ton histoire.. »

Le pacte de l’innocence ; Un lien futile mais subtil.
« Si l'on veut s'approcher des enfants, il faut parfois devenir enfant soi-même. ».


    Logement de la famille Jones.
    A l'aube de ses sept ans. Londres, Grande Bretagne.


    La réalité ne faisait guerre avancé l’imagination d’un enfant. Frein de rêves et d’illusions, elle gardait en elle une part de souffrance et d’aliénation digne des plus grandes pièces de théâtres des temps anciens telle que Phèdre ou encore Œdipe. Toutes ses histoires éponymes couchaient sur papier par de grands tragédiens, ne révélait ni plus moins les plus vastes et courtes anecdotes d’une simple vie en des temps repliés et lointain. Un bruit saccadé, des pas rapides se faisait entendre dans le corridor sobre qui menait à la pièce principale. La résonance de cette démarche représentait sans aucun doute une petite fillette, abordant une chevelure ondulée de couleur brune et d’un regard noisette dont peu d’individus auraient pu posséder. L’enfant à l’allure svelte et sage, ouvrit avec un fracas assourdissant la double porte qui donnait sur le salon aux motifs d’une décoration typiquement grecque, où la comparaison d’un palais de l’antiquité n’avait aucunement sa place. Teintes vives et claires, meubles doux et sculptés en bois de pin mais aussi de hêtre, la salle était très clairement dominée par un imposant instrument à cordes frappés. Le piano qui trônait prés de la fenêtre, était un symbole d’héritage de la famille maternelle depuis des générations qui sans aucunes surprises laissait des prédispositions à ce que la descendance en ait un jour l’usage à son tour. Soudain, tendrement et affectueusement, une voix légère et cristalline émana de la pièce déserte.

      « Allons Noé ne soit pas si pressée. ».

    Son rire de cristal embarqua sa fille dans un monde posé ou là quiétude était le maître mot. Assise sur le banc qui siégé juste devant le piano d’ébène, la mère fit signe a sa fille de s’avancé vers elle, afin qu’elle puisse la voir. Sourire abordant ses lèvres rosées, Ivanoé n’eu pas besoin de se faire prier pour rejoindre les tendres bras sécurisant de la figure maternelle.

      « J’ai appris que tu as été une jeune fille bien courageuse ce matin. ».
      « Je ne vois pas en quoi défendre les autres peut être courageux ?! ».
      « Ton comportement et ton attitude trouve cela naturel n’est ce pas ? ».
      « Oui évidement, je ne pouvais pas laisser Louis se faire insulter de sang de bourbe … Les gens ne sont pas vraiment d’une gentillesse naissante. ».
      « Exactement, et c’est pourquoi les mœurs changent Noé, grâce à quelques personnes qui agissent ainsi. ».

    Tête faisant un léger mouvement circulaire, la jeune Jones toisait d’un regard emplis de sagesse enfantine l’arbre fleurissant qui au gré de la brise du vent laissait s’envoler ses fines pétales roses et blanches. L’été venait de commencer et les cruautés apparaissaient de plus en plus dans le monde des sorciers telle une chaîne de mots sans fin et lugubre. Manifestant une envie soudaine de jouer du solennel instrument de ses ancêtres, la jeune mystérieuse s’installa aux cotés de la sorcière membre de l’équipe de Quidditch nationale de son pays et dont le devoir allez bientôt la rattraper. Sarah – ainsi se nommait elle – expliqua de manière simple et profonde la façon dont chaque touches d’ivoire possédait son propre son et que chaque gamme devait être parfaitement su pour déchiffrer les codes de partitions anciennement rédigés comme innovatrice. Après quelques heures d’exercices acharnés mais enrichissants, la fière sorcière se mit à jouer en concert avec son professeur un morceau de Mozart. Une complicité épatante pour une novice qui ne finirait jamais d’étonner ses proches. La musique produite était lente et rythmée, douce et apaisante pour des âmes fatiguées et lassées d’un quotidien inchangé. Elle reflétait le parfait secret d’un pacte entre mère et fille, en d’autres termes, un lien toujours existant et invisible a celui qui voulait croire en l’espoir d’un renouveau. Un nouveau souffle de vie, une autre vie au delà d’un monde rêvé.

    La dernière note achevée, le prodige se tourna vers l’optimiste mère nourricière de son nouveau savoir en peignant sur ses lèvres de gamine, un sourire ensoleillé et sincère. Le lui rendant a son tour, elle entendit la voix plus affirmé de son aîné, Dwight.

      « Noé, tu viens jouer une partie de quidditch ? »

    Avait-il crié du dehors par la fenêtre ouverte. Ne pouvant guerre qu’optait pour une réponse favorable, la cadette de la famille se leva en courant vers la porte de sortie et glissa dans une voix murmuré.

      « Merci. ».



Le rêve n'a rien de véridique, seul le souvenir à raison du moment présent.
« La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité. »


    flash back


    Les airs approuvaient ses mouvements, le vent transformé en brise d’été vint doucement se jeter dans ses cheveux d’un brun marron digne d’une écorce de chêne, la senteur de son parfum de cerise se déposant au son de son souffle saccadé par l’effort : celui d’une course effrénée. Elle volait dans le plafond d’un bleu azur de la saison du soleil, soleil qui illuminé le moindres de ses gestes, ceux de la liberté et de l’optimisme fier a l’état pur. Le balai de vitesse qui la transportait, ce solide Eclair de feu, ne vacillait aucunement sous la pointe de violence et d’assurance qu’était la Feinte de Wronski, et tout ce spectacle pourquoi ? Pour saisir ce malheureux vif d’or. Objet de dure labeur qui ne cessait de l’obstiner et de la déterminer davantage. Une fois la balle dorée en sa possession, la brunette retrouva doucement dans une prestance charnelle la terre ferme.

      « Il n’y a rien à redire Noe tu as décidément tout pour toi ! ».

    La voix admirative du blond ne laissait aucunement la jeune obtus sans voix. Son regard de braise telle une flamme de chaleur ambiante fixait son interlocuteur. Qui pouvait croire qu’elle avait tout pour elle. Elle la cadette des Jones maladroite, rat de bibliothèque et parfaite métaphore de l‘illusion chimérique qui portant se bornait à vivre pleinement sa vie. Virtuose des temps modernes aux abords bien trop humble et modeste. Alors que ses sourcils délaissait la remarque blessante - bien que littéralement elle faisait l’objet d’un compliment - ses yeux d’améthystes abandonnèrent ce sentiment dérangeant (qui consisté à lui faire valoir ses atouts féminin, et toutes les qualités qu’elle s’évertuait à cacher) au profit d’un rire cristallin qui vint rejoindre sans aucun soucis les cris d’acclamation de son équipe de Quidditch.

      « Excellent ma grande ! Quel magnifique mouvement. »
      « Si les rencontres amicales vont dans notre sens alors c’est certain je te veux dans l’équipe de ma maison Jones. ».

    La maligne des farces, ne put réprimer un rire, ses rigolades qui lui ressemblaient belles et bien en tout points. Celles qui jouissaient d’un pouvoir implicite a l’œil nu, celle qui était invisible a l’humain trop égocentrique, celle de l’espérance.

    fin du flash back.


    Ce qui vous faisait de vous une personne, un individu a part entière, demeurait dans la signification du caractère. Ce dernier pouvait se montrer si sinistre et envieux, si joyeux et prospère, qu’il n’avait pas encore révélé toutes ses nombreuses facettes. Pourtant on ne choisit pas qui l’on devient selon certains, et on ne peut guère changer le cours d’une histoire. Seulement l’homme est en possession d’un grand pouvoir dont il ignore l’existence : sa destinée. Si l’on en croyait Machiavel alors le hasard régit les trois quart de nos actions, et le quart qu’il reste, qu’en faisons-nous ? Et bien c’est à nous d’en décider ! De choisir le parcours de notre aventure humaine. Malheureusement toutes personnes n’est pas prête à entendre ses paroles, des paroles véridiques et claires qui sont entravées par un esprit fataliste et réservé à souhait. Cette philosophie que d’être légèrement taciturne et impassible, relevait d’un point de vue qu’une adolescente de bientôt dix années partageait tout en gardant une certaine mesure de silence.

    Sous un soleil doux et brulant, couchée dans un champ de verdure à en perdre la notion de l’espace, une magnifique chevelure brune aux reflets de chocolat vint faire le contraste parfait de cette palette de couleurs. Les arbres avoisinants se balançaient de gauche vers la droite au rythme du vent printanier de la saison. Elle les yeux clos respirait en accord identique aux cris que poussait les petits oiseaux amassaient sur la branche d’un vieux chêne. Allongée sur le dos, la jeune Jones rêvassait à tout et à rien et laissait vagabonder son esprit où il désirait se rendre. Dès lors, la douce avait repensait a ce souvenir qui la faisait autrefois sourire. Un sourire qu’elle avait toujours voulut chérir parce qu’il lui rappelait ce pourquoi la muse de son savoir voulait absolument se battre et gagner. La défunte joueuse de quidditch n’était plus, et son cœur aussi blanc que neige ayant était plus léger que la plume du Jugement Dernier ; lui avait ouvert dignement les portes d’un paradis, que Ivanoé voulait idéaliste et représentatif.

      « Noé ! »

    Le silence avait pris possession des lieux jusqu’à ce qu’une voix pressée et familière ne raisonne comme un réveil douloureux a son oreille. La sorcière reconnaissait bien là son ainé, celui qui n’avait jamais quitté les yeux innocents de sa sœur. Dwight - ainsi qu’il se nomme - donnait a sa cadette sa pleine confiance, seulement il la trouvait un peu jeune pour croire qu’elle était capable de se débrouiller en solitaire. Après tout le solitarisme dont elle faisait preuve aurait dû lui mettre la puce a l’ouïe pour comprendre que la solitude brute lui plaisait. Dans un soupir las, Ivanoé se releva en position assise en attendant que son frangin la rejoigne.

      « Moi qui pensait que tu finirais par t’y faire, j’ai fait une bien belle erreur cette fois. »

    Sa voix accusée un pardon sincère et coupable. Secouant doucement d’un mouvement rapide sa tête, la jeune Jones dévoila sa frimousse d’ange au membre de sa famille. Ce dernier s’installa a son coté, et d’un regard inquiet la toisa tendrement.

      « Tu n’as pas à t’en vouloir et cela tu le sais très bien. Seulement je regrette les moments passés en compagnie des grands parents, c’est bien différent de vivre avec lui. »

    Mains posées sur ses genoux, elle guettait le plafond du monde qui ornait sa présence d’un bleu limpide et sans nuages. Aucune n’ombre au tableau, si ce n’était juste le sens d’une vie sans objectif. La voyant replonger dans un silence qu’elle éprouvait salutaire, le brun saisit affectueusement la main de sa cadette. Lui adressant un regard complice et plein d’espoir le jeune homme âgé de la même année qu'elle à quelques mois près, se plaisait à protéger celle qui représentait a merveille la morte qui l’avait mis au monde. Le vent vint secouer les cheveux de l’audacieuse qui fondit son regard mélancolique dans le chemin que traçait l’horizon.


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MessageSujet: Re: doesn't change anything • ended.   doesn't change anything • ended. EmptySam 29 Aoû - 12:39

Le secret est un mystère que seul le coeur peut percer.
« Si l'on ôtait les chimères aux hommes, quel plaisir leur resterait-il ? »


    Il y aurait toujours une part de vous-même qui entretient le l’illusion, la voix vers une vision chimérique et imaginaire. Et c’est cela qui vous fait basculer dans l’espérance propre de l’optimisme et du soleil balançant de votre enfance. Avait-on la moindre certitude de quoi serait demain ? Avions nous entre nos mains la vérité sur un avenir sur et certain ? Etions nous de pauvres agneaux égarés, ceux que dieu - s’il existe s’entend - aurait laissés seul face a l’abandon et la solitude ? Toutes ses questions, n’avaient encore aucune réponse plausible pour le moment. Le seul propos véridique que nous savions en cette heure, était que nous étions les maitres de notre avenir propre. Sur les douces pensées de la vie et de leur semblant d’existence, la Douceur se questionnait toujours ainsi lorsqu’elle laissait son esprit vagabondait entre les diverses énumérations de son conscient. Prostrée sur un rebord de fenêtre de son dortoir, la brune aux reflets de cuivre s’adonnait a parcourir de son regard d’écorce le énième manuscrit de ce célèbre Epicure. Ce dernier était l’un des auteurs favoris de la demoiselle Jones, son avis sur la manière d’apprivoiser la vie et le sens de la philosophie de la vie, lui avait été bénéfique a une période plus complexe et mélancolique de sa vie d’adolescente. Si vous pensiez que profiter de l’humanité en vous satisfaisant du moment présent alors vous appreniez un maximum de choses - sachant que chacun trouvait midi a sa propre porte bien évidement.

    La fenêtre du dortoir des filles de quatrième année étant ouverte, une faible brise de vent vint jouer dans les fines boucles brunes de la sorcière, qui sous la fraicheur du vent esquissa un tendre sourire d’audace. Le temps était venue pour elle de laisser sa lecture de coté, pour enfin allez prendre l’air mais aussi se rendre a son prochain cour qui avait lieu dans un peu moins de deux heures. Mais avec ce laps de temps, l’adolescente pouvait vaquer à des occupations qui la mettraient de bonne humeur. Cornant l’une des nombreuses pages de son vieil ouvrage ayant vécu la guerre de « cent ans » et traversé les âges, Ivanoé sauta de son « perchoir » et déposa au passage sa lecture sur son lit pour en suite prendre la sortie du dortoir. La salle commune qu’elle fréquentait depuis prés de quatre, n’avait aucunement changée, et les couleurs lui semblaient figées dans le temps comme si rien n’avait changé durant les vacances de la saison tropicale. Lorsqu’elle pénétra au sein de la salle commune de la maison, la mystérieuse toisa la pièce d’un regard circulaire et s’aperçut que seule une horde de garçons campés les lieux. Pauvres âmes vagabondes ! Vêtue de l’éternelle tenue vestimentaire de Poudlard, la Jones s’avança d’une démarche tranquille et neutre vers le portrait mouvant qui lui permettrait de sortir de la tour.

      « Hey Jones, tu ne vaudrais pas me donner un coup de main pour mon devoir en métamorphose ?! ».

    Cette voix ! Quel son terrible. Il reflétait l’arrogance et la confiance bien trop lourde surtout pour Henry Macleod. Ce pauvre malheureux ne pouvait agir seul, toujours avec sa bande de singes soit disant courageux. Longtemps, Noé c’était demandée comment avait il put atterrir au sein de cette maison, cependant la douce n’irait pas jusqu’à contester la décision du vieux bout de chiffon qu’il l’avait lui-même répartie quatre ans auparavant. La brune de quinze ans, se retourna et de son regard impassible elle répliqua.

      « Bien sur avec un bon coup de pied cela devrait se faire tout seul Macleod. »
      « Hey ! »

    Un ricanement ironique digne d’un carillon se fit alors entendre de la part de la brune. Croisant les bras, elle l’observa une fraction de seconde et reprit son chemin vers le parc du domaine magique. La descente des grands Escaliers était comme toujours un plaisir dont elle comparait la traversée a un magnifique dédale. Le dédale du minotaure n’avait pas son pareil tout a coté des nombreux corridors aux mille et un portraits tout aussi fascinants les uns que les autres. Sur sa route, la poursuiveuse de Quidditch reconnut quelques visages familiers et d’autres dont elle ne connaissait même pas l’identité. Bien qu’elle soit très ouverte et chaleureuse, Noé n’en demeurait pas moins une personne assez méfiante. Son aplomb et son sens de la témérité étaient surement les maitres mots chez cette demoiselle. Néanmoins la réserve et la modestie leurs faisaient une certaine concurrence pour sur. Alors qu’elle allait franchir la grande porte principale qui la mènerait à la verdure du dehors, l’audacieuse brune entendit son prénom au loin. Tournant légèrement le visage en direction de l’appellation, la sorcière ne fut guère surprise de découvrir ce lugubre serpent qui ne cessait de la suivre. Ce dernier prénommé Caleb avait toujours l’œil fourbe et averti, lorsqu’il s’agissait de sa personne. Esquissant un sourire aux commissures de ses lèvres, la Douceur secoua sa bouille d’ange d’un air ironique et faux.

      « Tu n’as pas encore cours ? »
      « En quoi cela pourrait il de concerner ! »
      « Parce que toi et moi avons un secret commun, et que tu dois respecter mes attentes. Si tel n‘est plus ou pas le cas-tu serais contrainte et forcée de dire adieux a ce qui me permet de te voir sourire. »
      « »

    La main de l’être funeste vint doucement caressait la joue de la sorcière qui présentait dès lors un visage emplis de haine. Elle nourrissait envers lui, une colère qui se voulait destructrice et ravageuse. Ses yeux percèrent alors ceux de son interlocuteur qui derechef laissa tomba sa main.

      « Le poison a toujours un antidote. Ne crois pas que tu vas jouer avec moi longtemps ! »

    Le contournant sans regarder en arrière, la musicienne poursuivit son chemin au dehors du château. Il la faisait chanter, et cela elle ne le supportait pas vraiment, il jouait avec elle et il lui portait des sentiments qu'Ivanoé ne partageait pas le moins du monde. Cependant l'adolescente devait faire avec, au risque de voir s’envoler les bribes de souvenirs qui la rattachait au passé d’une défunte.



Le passé est révolu ; Sagesse & courage t'accompagnent.
« On aime à deviner les autres, mais l'on aime pas à être deviné. ».


    De nos jours.
    Domaine de Poudlard.


    Le regard vrillant sur chaque mouvement des branches d’arbres qui se balançaient de gauche vers la droite puis de l’ouest vers l’est, la jeune femme aux reflets de cuivre se remémorait toutes ses petites aventures de ces derniers mois, depuis son entrée au collège de sorcellerie. Les temps avaient changés, le temps en lui-même ne cessait de s’écouler et de s’écouler encore telle la magnificence d’une cascade digne d’un des plus beaux lagons du monde. Indescriptible et louable, la Walker tenait en main - encore et toujours - ce livre de Platon qu’elle ne cessait de lire et relire. A force du temps, ce vieux manuscrit - hérité de son arrière grand père - aux louanges ancestrales, dépeignait un manuel dont les pages avaient jaunis avec le temps. Cette œuvre couchée sur papier avait l’illustre manière de démontrer que la mort et la vie était instinctivement liées d’une certaine manière. Ainsi son auteur émettait l’idée résolu que lorsqu’un enfant venait au monde, cela était une souffrance et que tout à son contraire sa fin sans fin sans précédant était une simple délivrance. Où pouvait bien le mener cette thèse dépourvue de sens, surtout pour un simple individu n’étant guerre intéressé ? Le questionnement n’avait pas lieu lorsqu’on parlait de réflexion réfléchit à Ivanoé Jones. Non, la réponse a cette question, l’amenait à penser a cette relation anonyme et sans visage, car si elle retranscrivait sur un bout de parchemin des phrases emplies de métaphores sincères et pensives, elle n’aimait aucunement se dévoiler à autrui.

    Et pourtant. La douce entente entretenue par le biais de simples missives laissait déjà sous entendre et apparaitre qu’elle se délivrait du voile de son mystère, mais elle n’en était pas vraiment encore le cas. Chaque renseignements qu’elle échangeait avec son correspondant - avec le temps elle avait vite compris qu’il était de nature masculine - lui apportait un peu plus de connaissance sur son identité. Il était son énigme, pas vraiment, mais c’était une manière de parler pour une taciturne bien trop imaginatif et écrivain en herbe.

    Assise sur le rebord d’une fenêtre de la tour de sa maison, la vaillante érudit se redressait tout en observant la couleur nacre et gris allante d’un ciel sans étoiles, ornée de nuages à la couche épaisse. La pluie ne ferait pas attendre sa présence, et rien que pour cela l’ange audacieuse rebroussa son chemin, vers l’intérieur de la tour de la maison, là ou quelques années plus tôt sa défunte mère, venait elle aussi suivre le cursus scolaire. Mains dans les poches, l’ermite solennel vint parcourir les marches vers la sortie de la salle commune. A peine un pied vers le portrait, qu’une bande de jeunes hommse issus de la septième année, s’esclaffèrent a lui montrer leurs plus beaux regards. Loin de s’attarder sur leurs attentions ennuyeuses et dont elle ne remarquer strictement rien, Noé se laissa guider par son envie soudaine de répondre à son « inconnu », son secret poétique.

    Couloirs désert, silence platonique, bruit de pages qui se froissent sur la pliure d’un bouquin, chuchotis prémédités, rencontre silencieuse ; la bibliothèque du cinquième étage était devenue leur recueil d’échanges. Certaine de ne pas se faire remarquer, la jeune mystérieuse poussa doucement les portes du dédale littéraire, endroit de sa solitude première. La sorcière parcourus chaque rangée de la vaste salle littéraire où régnait un climat d’innocence et de travail parfait tel un violon s’accordant avec les mouvements vifs de son archet. La brunette s’arrêta droit au fin fond de la pièce, prenant place en s’appuyant d’un léger appui contre le mur de brique ancien, couleur de nacre. Une plume fine à la main, Ivanoé se mit alors à sa réponse - dont vous pourriez lire quelques passages -.

    « Le temps n’est guère encore à ce que je ne cesse de t’écrire. La force dont je fais usage pour te répondre n’est pas une corvée mais un plaisir dont je te réserve les attraits. La confidence de nos écrits est un « phénomène » qui me surprend, moi l’ermite solitaire et obstinée à mes heures. A de nombreuses reprises l’envie de comprendre l’humain m’est passée par l’esprit, tel une tempête qui est juste de passage dans une ville complètement déserte. La question de l’humanité chez l’homme n’est pas non plus ce qui revient le plus dans son comportement. Non bien au contraire, l’homme – au sens d’une généralité banalisée s’entend – ne se représentera que seul dans une contrée. L’assouvissement de sa victoire propre et de ses intérêts personnels prendra toujours une énorme ampleur à ses yeux. Il est vrai que tout humains, normalement constitué ne prétendront le contraire, ou bien il mentent ? L’action véridique ne sera que le revers de sa médaille. L’humain ne prend conscience de ce qui importait le plus dans sa vie, le jour il s’avers le perdre.

    Je ne parles que très peu de moi, parce que j’estime que ce n’est encore important, et pourtant il suffirait d’un incident, d’une trahison pour que tous mes espoirs et mes objectifs basculent a jamais. La vie est courte et frappe a n’importe quel instant. Tu pourrais me prendre pour une petite sotte, mais le fait que tu ne connaisse pas mon identité me rassure, du moins pour le moment. Je me décris au travers de ma philosophie mal assurée et pourtant tu arrive a me cerner. A l’instant où je t’écris une pensée parcours mon esprit fanfaron et problématique: as-tu une idée de qui je suis réellement ? Enfin, laissons le temps jouait de son hasard qui est le plus grand romancier du monde selon ce très cher Balzac.

    J’espère encore que tu sauras, une fois de plus déchiffrer mes longues et impossible énigmes parfois complètement dérisoires. Les lignes de ta plume, ne doivent aucunement avoir raison de tes soudaines interrogations. Sur ceux que l’histoire des ancêtres te donne le souvenir du pouvoir de la naissance de la magie.
    »
    I.J


Dernière édition par Ivanoé A. Jones le Lun 31 Aoû - 12:57, édité 3 fois
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Alyzée E. Ashbery
« Fleur du Mal » - Venimeuse & Délicieuse

Alyzée E. Ashbery


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MessageSujet: Re: doesn't change anything • ended.   doesn't change anything • ended. EmptySam 29 Aoû - 12:48

Bienvenue Ivanoé !

    Merci de t'être inscrite, j'espère que tu passeras d'excellents moments parmi nous Smile Je te souhaite bonne chance pour ta fiche.

    En cas de question, ma boite mp t'es ouverte Very Happy
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Ivanoé A. Jones

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MessageSujet: Re: doesn't change anything • ended.   doesn't change anything • ended. EmptySam 29 Aoû - 12:49


    merci Alyzée =)
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Uriel C. Diamond

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MessageSujet: Re: doesn't change anything • ended.   doesn't change anything • ended. EmptySam 29 Aoû - 12:52

Welcome Ivanoé !

    Je te souhaite la bienvenue sur le forum ! Amuses-toi bien parmi nous et en cas de question, tu sais à qui t'adresser Smile !

    Si jamais nos messages te gène pour ta fiche, préviens-nous et nous les déplacerons avec grand plaisir !

    Bon courage pour ta fiche que nous aurons un grand plaisir de lire !
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Adixia P. Rosebury

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MessageSujet: Re: doesn't change anything • ended.   doesn't change anything • ended. EmptySam 29 Aoû - 12:59

Welcomeuuuuuh sur le forum ;3
    Merci de ton inscription & bonne chance pour la suite de ta fiche! J'espère que tu passeras d'agréables moments en notre compagnie. ;3 Si tu as des questions, tu sais où nous trouver :3 ♥️
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Ivanoé A. Jones

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MessageSujet: Re: doesn't change anything • ended.   doesn't change anything • ended. EmptyLun 31 Aoû - 13:48


    Merci (:
    je pense avoir terminée
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Adixia P. Rosebury

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MessageSujet: Re: doesn't change anything • ended.   doesn't change anything • ended. EmptyLun 31 Aoû - 13:50

    Ta fiche me semble bien plus que correcte!
    Et c'est avec grand plaisir que je t'offre ma première voie de validation ^^
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Uriel C. Diamond

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MessageSujet: Re: doesn't change anything • ended.   doesn't change anything • ended. EmptyLun 31 Aoû - 14:20

Fiche lue !

    Très belle écriture, très poétique, très agréable à lire. Bref, je pourrais me répandre pour des pages et des pages de compliments, mais ça deviendrait lassant au final xD !

    Toutefois, il y a un léger problème. SI j'ai bien compris, tu envisages d'appartenir à la maison Gryffondor. Jusque là, tout va bien. Seulement, tu prétends être l'attrapeur de ton équipe, or, je suis vraiment, mais alors vraiment navré de t'annoncer que cette place est déjà prise ! Désolé, mais j'ai le poste Embarassed. Donc peut-être pourrais-tu prendre une autre place, Gardien ?

    Sinon, oui, tu as ma validation, une fois ce problème réglé Wink


Dernière édition par Uriel C. Diamond le Lun 31 Aoû - 14:32, édité 1 fois
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Ivanoé A. Jones

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MessageSujet: Re: doesn't change anything • ended.   doesn't change anything • ended. EmptyLun 31 Aoû - 14:26


    merci beaucoup (:

    Pour ce qui est du post d'attrapeur, c'était juste avant qu'elle n'entre a Poudlard - disons que c'était une partie pour s'amuser - donc pas de problème (:.
    Je la verrais plus en poursuiveuse de toute façon =)
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Uriel C. Diamond

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MessageSujet: Re: doesn't change anything • ended.   doesn't change anything • ended. EmptyLun 31 Aoû - 14:33

C'est Ok !

    Super ! Problème réglé, fiche validé ! Bienvenue parmi nous !
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MessageSujet: Re: doesn't change anything • ended.   doesn't change anything • ended. Empty

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