Uriel C. Diamond
Messages : 59
Date d'inscription : 08/08/2009
Age : 31
Localisation : Tour des Gryffondors
« La pensine »
Appartenance_: « Lumus Libertatem »
Relations _:
 | | Sujet: Uriel Castiel Diamond || END Ven 28 Aoû - 18:22 | |
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NOM, PRENOMS : Diamond Uriel Castiel.
SURNOMS : Cas'
ÂGE, ANNEE D'ETUDE : 17 ans, Septième année
DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 21 Janvier 2033 à Londres
NATIONALITE : Anglaise
PURETE : Sang-Pur
« Racontes moi ton histoire.. »
« - Alors c'est toi, mon père ? »
« - Ca se pourrait ... »
« - Ta gueule, j't'ai pas dit de parler, Expulso. »
Il eut comme un puissant courant d'air et un homme se retrouva projeté contre un mur au pied duquel il tomba comme un morceau de chiffon insignifiant. Devant lui se tenait un jeune homme brun aux yeux bleu qui perçaient la nuit comme deux torches de guerre. Il y avait dans ce regard, quinze ans de haine, de peur et d'endurance de mille tourments. Il y avait du chagrin, aussi. Mais il restait surtout cette dureté impressionnante sur le visage d'un jeune de quinze ans, visage aux traits délicats mais mystérieux, comme l'intégralité du corps du sorcier. Un silhouette sveltes mais athlétique, ce que la chemise blanche et ouverte comme si elle avait été mise à la hâte permettait de confirmer. Une rangée d'abdominaux renforcés par la pratique de musculation, justifiant le caractère déterminé et obstiné du jeune homme. Des jambes toutes aussi musclées s'appuyaient fermement sur le sol, recouverte d'un jean délavé et froissé, tandis qu'un bras vigoureux et musculeux au bout duquel se dressait une baguette se leva dans le noir.
« - Lumos. »
La baguette irradia de lumière dans une sorte de cave sinistre. Des gouttelettes d'humidité s'écrasaient sur la pierre froide sous les pieds du garçon, répandant un bruit répétitif qui l'énervait particulièrement. A la lumière de sa baguette, le garçon distingua le tas de chiffon s'agiter et une tête livide en sortir. Malgré les millions d'émotions qui s'entremêlaient dans son cœur, le garçon ne tremblait pas. Rien dans son apparence ne venait trahir son désordre intérieur. Le véritable cyclone qui déchirait son âme.
« - Écoute petit ... »
« - La ferme j't'ai dit ! Silencio. ! »
Un bref sifflement retentit et l'homme remua les lèvres sans qu'aucun son ne s'en échappe. Lentement, le jeune sorcier s'avança vers le tas de chiffons crasseux qui se mit à trembler. Un rire jaune, froid et rendu caverneux par l'étroitesse des lieux résonna à travers la cave. Le jeune homme était un excellent comédien, mais il n'est meilleur comédien que celui qui s'inspire de ses propres émotions pour en simuler d'autres semblables.
« - Tu as commis une grave erreur en te présentant à notre porte ce soir ... J'espère que tu t'en rends compte. »
L'homme s'agita, semblant vouloir s'excuser, le visage devenant blanchâtre et cireux sous la lumière de la baguette qui ne cessait de s'approcher. Regrettait-il seulement quelque chose ? Pensait-il sincèrement qu'il avait mal agit en retournant voir une femme, qu'il y a quinze ans, il avait séquestré et violé ? Songeait-il à l'erreur qu'il avait faite, là aussi, en la forçant à coucher avec lui ? S'apercevait-il des conséquences de cette erreur ? Non … cette ordure n'avait de regret que d'avoir égaré sa baguette magique …
« - Je pourrais te tuer, Devon … Je n'ai que deux mots à prononcer et la Mort s'empresserait de venir te chercher … Mais vois-tu, je suis de deux qui pensent qu'il existe de pires tourments que la simple et rapide sentence de mourir … »
Le jeune homme s'accroupit tout en menaçant son paternel de sa baguette illuminée qui semblait presque se retenir à grand peine de lui vomir un flash de lumière verte en pleine figure. Son propriétaire eut un rictus mêlant la rage et le mystérieux tourment qui ne le quittait jamais.
« Je pourrais te tuer … ou, te torturer par exemple ? Battere. »
L'homme hurla comme s'il venait de recevoir un coup de poing dans l'estomac. Le garçon eut un frisson de contentement. Ce n'était pas de l'entendre hurler qui l'avait ravit, pour cela, il aurait plutôt vomis, mais savoir que les formules qu'il inventait fonctionnait le rendait plutôt fier de lui. Depuis le temps qu'il attendait cet instant de vérité.
« Ou peut-être que le baiser d'un détraqueur te conviendrais ? Après tout, c'est ce que tu mérites Devon, soyons francs l'un envers l'autre … Glacies. »
Un nuage de poussière bleuté s'évada de la baguette illuminé et enveloppa presque amoureusement l'homme qui devient encore plus blanc, trembla plus que jamais et dont les lèvres bleuir, comme s'il avait été plongé au cœur d'un iceberg du Pôle Nord.
« Dis-moi … Dis-moi que tu regrettes … Qu'est-ce que tu attends ! Dis-le ! Dis-le espèce de salopard ! »
L'homme ne pouvait faire sortir un mot de sa bouche. Mais en un éclair, un sourire s'installa sur son visage. La vue des petits éclats humides dans les yeux du garçon le ravissait. La situation tournait à son avantage. Un simple coup de tête instantané lui suffit pour que le garçon fut propulsé en arrière et que sa baguette ne s'éteigne, plongeant la cave dans l'obscurité. Le garçon, sonné, vit jaillir de la porte de la cave, une belle et jeune femme qu'il connaissait bien avant d'entendre ses derniers mots …
« Uriel ! »
*
J'étais tranquille et reposé. Mon âme tourmentée ne me ferais plus souffrir pendant quelques temps. Le jeune étudiant en dernière année dans l'école de Poudlard ne répondait plus au nom d'Uriel, du moins, le temps d'une promenade au clair de lune dans le parc de l'école. A vrai dire, à part deux yeux d'un bleu illuminé, il ne restait rien du garçon, si ce n'était ses songes, et le pelage aussi noir que les cheveux qu'il ne portait plus.
L'éclat de la lune appelait au hurlement. Seul, dans un coin de la forêt, un loup aux yeux bleus leva la tête vers l'astre lunaire et poussa un long cris auquel ses semblables répondirent à l'unisson. Une longue plainte, comme un animal blessé, tourmenté, mais qui s'en accommodait. Tout était une question de temps.
Au bord du lac qui revêtait un voile d'argent en l'occasion de la pleine lune, l'animal contempla son reflet. La forme grandit, peu à peu, et finit par redevenir moi. J'extirpais une baguette de la robe de sorcier que j'étais parvenu à emporter dans ma transformation. J'étais animagus que depuis peu, et j'avais du mal à emporter mes vêtements lors de mes changement de forme, ce qui pouvait s'avérer plutôt gênant.
Je regardais le résultat dans le miroir aquatique. La robe de sorcier était en fait une simple cape et je portais encore mon pantalon. Et c'était tout. J'étais mis à nu, moi, pudique par excellence. Mais l'avantage d'être en pleine forêt, c'était que la solitude était garantie. Les arbres étaient les seuls témoins de mon intimité sentimentale. Car j'étais un grand sentimental qui dès que la barrière de froideur menaçait de craquer, venait se vider de son trop plein de sentiment au cœur de la forêt, à l'abri de leurs troncs épais.
Déjà animagus alors que je n'étais qu'en septième année ? C'était mon petit secret et une petite fierté. J'étais très intelligent, surdoué, paraissait-il. Rien de plus surprenant quand on savait que j'étais le fils d'une prodigieuse directrice dont les talents magiques n'étaient plus à prouver. Mature était un terme qui revenait bien souvent dans les discussions à mon sujet. Impulsif, par contre, n'y figurait pas, or, c'était pourtant le cas, mais mon mystère cultivé à son maximum, empêchait quiconque de le savoir.
Merde. Ce jour là, je jetais mon dévolu sur cette con de société aveugle et intolérante. Primo, le fait que je sois surdoué ne voulait pas dire que j'étais incapable de me tromper, ce qu'un abrutit de Serpentard avec qui je partageais les cours de divination n'avait pas l'intelligence de comprendre. Secondo, l'explosion de Dumstrang et la disparition de trois de mes camarades n'avait RIEN, RIEN d'une coïncidence. Mais que foutaient ces putains d'Aurores sensés nous surveillés ?
Devant leur formidable activité, j'avais enfin monté ma petite association. Il était temps que les élèves prennent conscience du danger qui nous menaçait. Et je devais protéger les élèves. Si un Gryffondor ne se levait pas devant le danger, qui le ferait ? Ma mère était complètement aveuglé par les charmes minables d'un couillons d'ancien prof de magie noire. L'avantage contre le noir c'était qu'il suffisait d'un peu de lumière pour le dissiper. J'étais prêt à allumer les flammes de la vérité et surtout, de la justice.
Mais là, j'avais sommeil, malgré le rêve que j'avais fais, me rappelant un épisode de ma vie, il y avait précisément deux ans. Non, je n'étais pas un fils à papa. Et je ne souhaite pas en parler davantage. Maintenant, parasites de mon esprit, je vous prierais bien volontiers de dégager de ma tête. Vous voulez un de mes discours enflammés que je ne me gène pas de débiter même devant une classe et son professeur pour prôner la justice et la Liberté ? La Liberté vous comprenez ? Et penser, c'est une liberté, alors … DU VENT ! EXPULSO !
« Unique ? Prouve le. » COMPOSITION DE LA BAGUETTE : Bois de Branche de Feu de Sempremais éteinte (branche de feu éternel) et morceau de glace éternelle.
PATRONUS : Une Colombe.
EPOUVANTARD : Le noir
MAISON SOUHAITEE : Gryffondor
MATIERE FAVORITE : Sortilèges et Enchantement
MATIERE DETESTEE : Soin aux créatures magiques
SORTILEGE PREFERE : Lumos
POTION DE PREDILECTION : Elixir de protection
« Ôtes ton masque et dis moi qui tu es. » PRENOM - PSEUDONYME : Angelight
ÂGE, LOCALISATION : 16 ans, IDF
EXPERIENCE RP : 2 ans
EXEMPLE DE POSTE :
PRESENCE /7 : 7
MOT DE PASSE : Genre j'vais vous l'dire …
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